En matière d’infrastructures, plusieurs chantiers de grande envergure ont été lancés ou achevés. Plus encore, il a œuvré pour améliorer le quotidien des habitants, notamment en mettant en service de nombreuses infrastructures de proximité, comme des écoles et des hôpitaux.
Le projet phare qui illustre l’engagement du Président en matière de services de base est sans doute ‘‘Hazavana ho anao’’, qui a permis de doter de nombreux ménages de lumière. Andry Rajoelina a osé prendre des mesures concrètes pour en finir avec les délestages dans la Capitale. Le lancement de la construction de la centrale de Ranomafana sur l’Ikopa témoigne de cette volonté de rendre l’électricité plus stable.
Pas question de laisser les ménages de la Capitale malgache, Tananarive, dans l’obscurité. L’Etat a sacrifié une partie de son budget pour maintenir les machines thermiques de la JIRAMA en état de marche. Toujours matière d’énergie, renouvelable cette fois-ci, Rajoelina a frappé fort avec l’inauguration de la plus grande centrale solaire de Madagascar dans le sud du pays, Cerise sur le gâteau Mais ce n’est pas tout. Le Président a poursuivi son engagement à moderniser le pays. Ironisé par ses détracteurs, le Miami de Toamasina a été inauguré cette année. Cette initiative qui propulse la région vers de nouveaux horizons de développement économique. Et même à l’aéroport d’Ivato, il a lancé des réformes pour en améliorer l’efficacité et l’accueil.
Face aux défis sociaux, Andry Rajoelina n’a pas non plus manqué de répondre aux préoccupations des plus vulnérables. Le programme ‘‘Mifampitsimbina’’ et ‘‘Tsimbina’’, deux initiatives solidaires, ont été mis en place pour soutenir les ménages malgaches dans le besoin, illustrant son souci constant d’améliorer le bien-être des plus démunis.
En plus de son action domestique, Rajoelina a su placer Madagascar sous le feu des projecteurs diplomatiques. A l’international, ses victoires diplomatiques se sont multipliées, à commencer par sa nomination à la tête de la Communauté de développement des Etats d’Afrique australe (SADC) pour la période 2025-2026, et la désignation de Madagascar comme vice-président de la 79e session de l’Assemblée générale des Nations unies. Et bien sûr, son élection au titre de leader politique africain de l’année couronne une année exceptionnelle pour lui.
Une année 2024 qui se conclut donc sous le signe de la réussite pour Andry Rajoelina, qui a su concilier développement économique, progrès social et rayonnement diplomatique. La consécration de son élection comme leader politique africain de l’année n’est que la cerise sur le gâteau d’une année de travail acharné.
L.A.